Au Soudan du Sud, la présence des catéchistes dans le diocèse de Rumbek a eu un impact considérable sur l’évangélisation. Les catéchistes sont essentiels à la pastorale. Vous pouvez nourrir ceux qui ont faim, surtout en période de sécheresse. Leur travail dans les paroisses est bénévole, mais ils ont des familles à charge.

Le monastère en bois de Belém do Solimões au Brésil, cœur de la mission des Capucins, est aussi le centre de formation des catéchistes qui œuvrent auprès des 72 communautés indigènes de la région amazonienne, regroupant plus de 25 000 personnes. Le monastère est en piteux état, mettant en danger la santé des frères et des catéchistes. Sans rénovation, il ne peut plus accueillir les catéchistes en toute sécurité. Votre soutien contribuera à la restauration du monastère et offrira aux catéchistes un lieu sûr où la foi pourra s’épanouir.

Dans le diocèse de Holguín à Cuba, 34 sœurs demeurent un « signe d’espérance » pour une population durement touchée par une profonde crise économique. Grâce à votre soutien de 16 000 euros, elles peuvent continuer à offrir soins, réconfort et proximité évangélique malgré d’importantes difficultés. Les sœurs expriment leur profonde gratitude et vous assurent de leurs prières et de leur solidarité.

Une église paroissiale du diocèse de Ndola en Zambie est devenue bien trop petite et se trouve en mauvais état. On craint qu’elle ne s’effondre complètement à cause des vents violents et des fortes pluies. La Messe est désormais célébrée en plein air, ce qui est particulièrement difficile pour les mères avec de jeunes enfants et les personnes âgées lorsqu’il pleut. C’est une grande tristesse pour les fidèles catholiques de Baluba de voir leur église endommagée et délabrée et de ne pouvoir célébrer la Messe dans un lieu convenable.

Les « chanoines réguliers de Jésus, le Seigneur » sont une congrégation encore jeune, composée de prêtres et de religieux. Ils sont particulièrement actifs dans la pastorale des prisonniers. En Indonésie, il était difficile de financer la formation de leurs 25 séminaristes. Leur supérieur, le père Yohanes Marinus, nous avait demandé avec confiance de l’aider, et nos bienfaiteurs n’ont pas abandonné les religieux.

Dans le vaste diocèse de Tenkodogo au Burkina Faso, 200 000 catholiques y sont éparpillés et sont pris en charge par seulement 35 prêtres, qui doivent parcourir de longues distances pour visiter les villages qui font partie de leurs paroisses. Cependant, beaucoup de ces localités sont difficiles d’accès. Les prêtres ont un besoin urgent de motos pour pouvoir accomplir leur ministère. Cependant, l’Église locale est pauvre. Mgr David Koudougou souhaite que les fidèles se rapprochent du Christ et que les prêtres soient proches des gens afin de pouvoir les accompagner dans leur chemin de foi et leurs difficultés. Il espère que vous pouvez l’aider.