Les prêtres de l’archidiocèse de Baalbek-Deir El-Ahmar au Liban travaillent sans relâche dans cette région difficile. Ce sont de « bons pasteurs » dans le vrai sens du terme. Afin qu’ils puissent eux-mêmes survivre, nous les soutenons régulièrement par des offrandes de messe. Ils en sont très reconnaissants. Les soutenez-vous aussi à travers vos offrandes de messe ?

Il faut de toute urgence rénover la cuisine et la salle à manger du séminaire de Sarajevo en Bosnie-Herzégovine. Ce sont non seulement des espaces fonctionnels, mais aussi des lieux où la vie communautaire se développe. Voudriez-vous contribuer à faire de la cuisine et de la salle à manger des espaces où l’on se sente bien, et qui constituent le cœur de la vie communautaire ?

L’année dernière, nous avons demandé de l’aide à nos bienfaiteurs pour la pastorale des prisons de l’archidiocèse de Guayaquil en Équateur. Nos bienfaiteurs ont fait un don de 9.900 euros pour renforcer cet apostolat précieux et permettre la formation de nouveaux agents pastoraux. « Nous avons vu de merveilleux cas de conversions parmi les détenus ainsi que parmi les agents des établissements pénitentiaires. »

La paroisse de Koilamati, dans l’État d’Assam en Inde, compte environ 20 000 habitants issus de minorités ethniques vivant dans des conditions modestes. Depuis 2009, trois pères Carmes s’occupent des 16 villages catholiques de cette région montagneuse de forêt tropicale. Leur travail était ardu et dangereux en raison du mauvais état des routes et de la présence d’animaux sauvages, et ils ne disposaient que de motos complètement usées. Grâce à votre soutien, deux nouvelles motos ont été achetées, permettant aux pères d’atteindre les populations plus rapidement et en toute sécurité.

Dans le diocèse de Klerksdorp en Afrique du Sud, le nombre de jeunes hommes désireux de devenir prêtres est en augmentation. Grâce à votre aide, nous avons déjà pu soutenir plusieurs fois la formation au séminaire. L’évêque nous demande encore de l’aide, car l’Église ne dispose que de peu de moyens dans cette région essentiellement rurale et marquée par une grande pauvreté. Les jeunes hommes qui répondent à l’appel de Dieu pourront-ils compter sur votre aide pour poursuivre leur formation sacerdotale ?

Dans la République Dominicaine il règne une grande pauvreté. Trois sœurs d’une congrégation locale, dites « Laurites », ont la charge d’une paroisse pauvre. Elles vivent de manière extrêmement modeste. Elles subissent notamment de fréquentes et longues coupures de courant, si bien qu’il leur faut des bougies ou des lanternes pour s’éclairer dans l’obscurité. L’évêque essaie de soutenir les sœurs, mais dans cette région pauvre, l’Église a très peu de ressources. Nous aimerions aider par une aide à la subsistance de 2.700 euros ces trois religieuses qui se sacrifient avec dévouement.